Poppy ϟ Monsieur je t'aime

GIOIA PENELOPE "POPPY" JONES

ft. Emily Didonato ; Pretty Fashionable Londoner ▬ (c) Tumblr (Emdidonato)

Ϟ t'as quel âge, t'es originaire d'où ? t'es né quand ? t'as un compagnon ? dis nous tout! ~~Poppy, c’est un petit chiot, on sait pas d’où elle vient.~~ Poppy a grandi à Londres mais elle est née à Milan. La date, il paraît que c’était un 15 Mars 1990. Ca lui fait 21 ans si vous comptez bien. Elle est célibataire et libre comme l’air jusqu’à preuve du contraire. Sans entrave ni attaches ni contraintes. Mais rien ne dit que ça ne lui plairait pas dans le fond. Elle n’en parle tout simplement pas. Elle a jamais manqué de quoique ce soit dans sa vie, sa mère était un mannequin international quant à son père… Elle a oublié jusqu’à son existence depuis longtemps. Elle ne nie pas avoir déjà été intéressée par des filles mais elle préfère de loin les garçons et c’est tout ce qu’elle a expérimenté d’ailleurs. Pas besoin de pousser l’expérience plus loin pour l’instant.
Ϟ quel métier exerces-tu et en quoi consiste-t-il ? Gioia bosse comme journaliste dans la mode. Et oui. Sa mère aurait voulu la voir mannequin, comme elle, mais très peu pour elle ! Elle se braque dès qu’elle voit un appareil. Elle a toujours un mal fou à se détendre. Et puis, plus que la fibre artistique, elle a la fibre littéraire. Alors c’est pas vraiment un métier pour elle le journalisme. C’est surtout l’association de deux de ses passions : l’écriture et la mode. Elle y va limite en chantant le matin et repart en pleurant le soir. Son métier, c’est son bébé. Elle s’y plaît et elle le garde. Qui a besoin d’un mec dans sa vie quand on a son métier, sérieux ?
Ϟ que penses-tu du monde de la mode ? Poppy a grandi aux milieux des défilés et autres shoots de mode. Elle connaît ce monde par cœur et en a l’habitude. Elle n’est pas dupe, elle sait ce que cela a fait à sa mère mieux que n’importe qui, c’est peut-être pour ça qu’elle n’a jamais voulu tenter le mannequinat. Mais c’est malgré tout un univers qui l’a toujours fascinée et attirée, elle n’a jamais eu l’intention d’en sortir. C’est comme un mini univers à lui tout seul. Ok, on ne pense pas trop aux petits africains qui meurent de faim dans le désert mais justement ! Chacun a besoin qu’on lui vende du rêve de temps en temps et c’est ce que fait l’univers de la mode.
Ϟ quels sont tes rapports avec les mannequins ? Gioia connaît évidemment beaucoup de mannequins. Elle en côtoie pas mal à cause du travail mais aussi parce qu’il y a des amis qu’elle connaît depuis quasiment toujours ou qu’elle a rencontré en soirée. Ils ont les mêmes centres d’intérêt mais pas la même façon de l’exprimer. Pourquoi ne serait-il pas amis ? Et puis c’est toujours plus facile d’être amis avec des gens qu’on est amené à amener à côtoyer tout le temps. Ils ne sont pas tous vraiment humbles ou fréquentables mais la plupart est au-dessus de son seuil de tolérance et c’est ce qui compte non ?

prénom/pseudo : Lou pour faire court / Union Jack. âge : 19 ans. pays : France. présence : 5/7 minimum. comment t'as atterri sur le forum ?On m'a trainé de force Q _ Q. qu'en penses-tu ? Y'a pire comme prison.

❝ Si je n’avais qu’une heure d’amour, si c’est tout ce qui m’était donné, une heure d’amour sur cette terre c’est à toi que je la consacrerai. ❞ — Lovely Bones.

Capitolo Uno.

Quand est-ce que commence l’histoire d’un individu ? A sa création ou bien à sa naissance ? Eternelle débat. Mais comment comprendre la raison de vivre de quelqu’un si on ne sait pas d’où il vient, comme des gens ont décidé qu’il viendrait au monde, avec quels facteurs pour lui garantir un avenir digne de ce nom ? Gioia n’est le fruit d’aucun amour ni même d’un souhait de sa mère d’avoir un enfant à peine 21 ans. Non, elle n’a pas été minutieusement planifiée comme d’autre. Il y a juste eu cette nuit de passion torride entre sa mère, ce mannequin italien internationale qui faisait fureur à l’époque, et son père ce petit bureaucrate britannique arrogant et prétentieux mais à l’avenir prometteur. Coup d’un soir, conséquence d’une vie. Sept mois plus tard, on a annoncé en catastrophe à sa mère qu’elle allait devoir mettre sa carrière entre parenthèse parce qu’elle était enceinte et que, non, on ne pouvait plus rien y faire parce qu’il était bien trop tard pour faire quoi que ce soit. Un peu plus d’un mois plus tard, elle pointait le bout de son nez. Sa mère est passée par plusieurs phases. D’abord la colère en apprenant sa grossesse, puis la joie à la naissance de sa petite Gioia mais surtout le soulagement de se remettre à sa carrière. Un bébé c’était bien mais ça ne valait pas mieux qu’un jouet dont on se lasse pour elle. Elle n’était guère plus qu’un obstacle dans les premiers mois de sa vie. Elle l’a donc laissée au bon soin de ses grands-parents pendant les 6 premières années de sa vie, venant lui rendre visite dès qu’elle le pouvait. Mais ce n’était pas vraiment la mère idéale, il faut bien le dire. Elle aimait sa fille mais un peu comme on aime un chiot et pas la chaire de sa chaire. Poppy est loin d’être restée traumatisée par cette période. Elle était bien avec ses grands-parents, sous le soleil d’Italie à s’amuser aux milieux de ses poupées et de ses ours. Elle était contente de revoir sa mère mais ses grands-parents comblaient à merveille le vide que laissait cette dernière. Elle n’avait pas plus besoin d’elle que sa mère de sa fille et elles étaient très bien comme ça. Mais les bonnes choses ont toujours une fin. Les grands-parents de Poppy sont morts un beau jour alors qu’elle venait à peine de fêter ses 6 ans. Sa mère a jugé bon de s’occuper de sa fille à partir de là. Elles sont parties s’installer à Londres et les voyages en Italie sont devenus occasionnels, au grand damne de la petite Gioia.

Capitolo Due.

La découverte de la mode a été comme un coup de foudre pour Poppy, bien qu’elle en ignorât alors ce que cela pouvait être. C’était comme le monde des milles et une nuits pour la petite fille qu’elle était, un rêve éveillé composé de paillettes, de strass et de flashs. Cela la rapprocha la mère et la fille qui, trouvant ici un point commun, devinrent inséparables, développant une relation fusionnelle. Gioia suivait sa mère sur chaque défilé, chaque shoot. En même temps, elle n’avait personne pour la garder. Son père, elle le voyait de temps en temps mais c’était juste pour la forme. Elle sentait qu’il faisait ça, contraint et forcé, un peu comme la pension qu’il était obligé de verser tous les mois. Elle s’en fichait pas mal, elle ne l’appréciait pas vraiment ni sa famille d’ailleurs, quoiqu’ils s’entendaient pas si mal que ça. Mais ce n’était que des relations superficielles. Un peu comme le monde qui l’entourait en somme. Elle avait grandi dans un monde de superficialité et d’apparence. Loin de lui permettre de s’affirmer, ça a au contraire fait d’elle quelqu’un de timide. L’éducation qu’elle avait reçu de ses grands-parents, très pieuses, différait de celle de sa mère beaucoup plus ouverte, extravertie et plus proche d’une relation amicale que parentale. Gioia avait donc l’impression d’avancer à deux vitesses. Tout s’était calmé lorsque sa mère avait arrêté sa carrière de mannequin pour se reconvertir (toujours dans la monde s’entend). Elles avaient pu se poser définitivement à Londres et Gioia avait commencé à aller à l’école, comme tout le monde.

Capitolo Tre.

Mais un enfant n’est jamais toujours un enfant, n’en déplaise à Peter Pan. Le monde l’attrape par la culotte et le secoue comme un prunier. Le monde le dépouille de tout ce qui fait de lui un enfant : son innocence, sa naïveté. Il lui laisse ce qui le formait fondamentalement puis il se roule dans les pétrins possibles pour l’endurcir au maximum, il l’étire dans tous les sens pour qu’il grandisse puis il le laisse tomber sans ménagement. Pour certains, la chute est plus rude que d’autres. Gioia s’en est bien sortie en somme, à peine avec quelques bleus. L’enfant timide avait disparu mais il n’en restait déjà pas grand-chose. Elle a pris de l’assurance, mais elle a aussi appris beaucoup de choses. Le mode de la mode n’est pas un monde d’enfant. Elle y a paumé son innocence, accrochée à l’un des cintres d’une des robes haute couture de sa mère mais s’est pas grave. Elle s’est écorchée les genoux sur les bancs de l’école. Il n’est pas facile d’arriver à 12 ans dans un environnement dont on ne connaît rien, d’être jalousée pour une notoriété à laquelle on ne peut rien et une beauté dont on n’a pas encore conscience. Elle s’est cognée la tête au plafond des préjugés et aux murs de médisances. Puis elle a appris à contourner les murs et même à les pousser. Elle a découvert qu’en se servant de ses armes à elle, elle pouvait se mettre n’importe qui dans la poche ou tout simplement les faire disparaître. Les mots sont devenus ses meilleurs amis et ses meilleures armes. Elle a appris les subtilités des sourires, des regards et des paroles. Elle pourrait remercier la mode pour ça. Ce monde de requin a aidé le petit poisson atrophié qu’elle était à prendre le dessus sur le reste de l’aquarium. Elle est devenue extravertie, elle a commencé à s’imposer au monde, à imposer sa vision des choses et sa voix, à ne plus se laisser submerger par rien ni personne. Elle a appris de jouer de tous ses atouts, y compris physique. Mais Gioia n’avait pas encore sacrifié sa religion sur l’hôtel du monde, alors elle n’a pas sacrifié sa virginité non plus. C’était son côté encore un peu romantique, bizarrement ressorti quasi intact de ce maelström. Mais elle avait sacrifié bien d’autres choses aux hommes, au monde de la mode, au monde en général. Elle s’était forgée, comme une statue qu’on érige tant bien que mal, elle avait émergé de la masse et elle se dressait, tête droite, face à ce que l’avenir daignerait lui présenter.

Louuu (j'vais pas la re-re-faire encore une fois, mais on s'connait non ? - Lize de CL )
La fille sur ton avatar est absolument mignionne, j'la connaissais pas
Et en dernier mot : bienvenue Poppy ϟ Monsieur je t'aime 58441

Oui, on se connait et je t'avais reconnu. Merci à toi Poppy ϟ Monsieur je t'aime 931290

C'est Emily Didonato, t'sais elle a fais la pub Aqua Di Gioia. HAN ! C'était comme ça que je voulais l'appeler à la base mais je trouvais plus ! xD Tu viens de me sauver la vie là !

aaaaaaaaaaaaaaaaah ! bunny, c'est ça ? mais je vais pouvoir m'en donner à coeur joie ici aussi. (a)

C'est ça xD On reste calme avec Poppy, naméoh (a) Personne va la toucher.

on parie ? Poppy ϟ Monsieur je t'aime 810254

Si tu veux :p Ma petite Poppy est vierge et elle va le rester.

oula, fallait pas me dire ça. c'est une invitation au vol d'hymen. (a)

Bienvenue

Ca se vole ces trucs-là oO
Merci Duncan :)

BIENVENUE

Merci :)

cool, une journaliste ! ça change des mannequins, et ça fera des vacances à martine !
je te valide.
tu n'as plus qu'à créer ta fiche de lien, te créer un portable et un mail (c'est toujours utile), peut être laissé un petit mot sympa sur notre pub bazzart (ça aussi ça peut être utile, mais pour nous lol) et puis créer ta page facebook si ça te branche.

bienvenue. Poppy ϟ Monsieur je t'aime 516544

Merci :)

bienvenue parmi nous. Poppy ϟ Monsieur je t'aime 931290

Merci !

et genre je te souhaite même pas la bienvenue (a)
BIENVENUE merci d'être venue t'inscrire
Poppy ϟ Monsieur je t'aime 860922

De rien, c'est un plaisir (a)