Je viens de me rendre compte que ce n'était rien cela d'avoir une joue rose. En vérité, c'est merveilleux de recevoir une claque ! Je ne crois pas que j'eusse pu trouver, dans une aussi cupide douleur, la force de me réjouir de mon état de malchanceux. Une claque, ça te réveille ! Une claque, c'est diaboliquement fascinant ! Une claque, c'est tout bonnement excitant ! Ceux qui me trouveraient fou, cinglés, complètement imbéciles se tromperait de jugement. Ils me trouveraient tous ridicule . Le ridicule ne tue pas d'ailleurs Freddie Mercury n'est pas mort à cause du ridicule, il est mort d'une grave maladie et le ridicule l'a plutôt aidé à posséder un compte en or à la banque. Moi aussi, je veux obtenir de l'argent grâce au ridicule...
  « Grandis un peu Duncan ! »
* Moment de sérieux doutes, est-ce que j'ai parler en croyant penser ? * Je regarde avec une mine déconcertée Kiara. Je ne sais pas quoi lui dire ? Elle est là, debout devant moi en soutien-gorge, en train de me regarder comme si je sois le dernier crétin du monde encore en vie. Ce qui est vrai,je me rassure.
Euh... Kiara, elle attend peut-être que je dise quelque chose parce que là, j'ai l'impression qu'elle a l'air d'attendre l'arrivée de quelque chose. Peut-être son bus ? C'était pour rigoler cela, je ne suis pas aussi bête que je le pense en tout cas cette pensée stupide me fait rire toute seule. C'est vrai, une fille qui attend son bus en soutien-gorge et en boxer, ce ne serait dû jamais vu.. J'imagine la gueule des vieux criant au scandale ! Rien que pour cela, j'ai bien envie de demander à Kiara de sortir dans la rue avec cet accoutrement. Paf ! Je viens de recevoir une deuxième claque, sur celle-là elle a mis du cœur.
  «Duncan, désolé, toi et moi ça ne va pas le faire. Tu es gamin, moi je cherche un homme, un vrai. Au revoir et je t'en supplie ne m'appelle pas. »
Elle m'a dit tout ça en s'habillant. Je viens de prendre un râteau. Et ce n'est pas de ma faute. J'avais bien dit à Kiara qu'ont été bien tous les deux dans une relation totalement amicale. Un moment, j'ai dû faire une bêtise, elle m'a trouvé mignon(oui être mignon peut vous entraîner des problèmes. Même en étant un garçon, vous courez le danger de vous faire agresser sexuellement par une personne du sexe opposée). À ce moment-là, j'étais foutu au début d'un tas d'embrouilles sans le savoir, sans le sentir. Kiara, ensuite, m'entraîna chez moi en me faisant des yeux doux, trop beaux pour que je leur dit non, même si ils appartenaient à une amie. Et au moment on arrive dans ma chambre et là, elle se déshabille tranquille et elle me dit avec un naturel délicat :
  « On fait l'amour ». C'est enfin à ce moment précis que mon cerveau réagi sur le fais que je ne pouvais pas coucher avec une amie puisque c'était une amie, chose que je ne pouvais pas dire à Kiara plus tôt ? À force de trop penser, je reçus la merveilleuse première claque. C'était la première fois qu'une femme me donner une claque comme dans les films !
Je me rappelle de ma mère qui me racontais que lorsqu'elle avait une peine de cœur, elle se rendait directement au musée pour la beauté de l'art, surtout pour ce qu'elle ci fait pour raviver l'amour qu'importe la façon dont le sentiment est peint. Mon problème à moi, c'est que je n'ai jamais rien compris à la peinture et je n'avais pas de peine de cœur puisque c'était moi le meurtrier d'un cœur. Sans le vouloir, bien évidement. Par la faute de cet étrange et ancienne déclaration d'un de mes géniteurs, je me rendit en bon élève au British Museum.
Je marchais, regardais, puis remarcha et encore regarda. Aucune œuvre me ressaisit. J'étais dans le gouffre totale, en plus fatigué de déambuler devant les sculptures et les tableaux de grands artiste, je m'assis sur un fauteuil devant une œuvre représentant une femme amoureuse.
Magnifique œuvre n'est-ce pas?, me rétorqua un homme à lunettes installer à ma gauche.
J'en ai rien à foutre que l’œuvre est belle ! Moi, je veux être beau et grand !